"Encore un blog ?" me direz-vous. Oui, encore un, et pourquoi donc ?
J'ai acheté le magazine Marie Claire hier soir, à la gare "Charles De Gaulle - Etoile" en attendant le train sur le quai. Et je dévore les pages de mode, l'astrologie 2008 pour tous mes proches, je lis aussi un article sur la prostitution en Syrie (et j'ai même failli tomber dans le train) et aussi des pages modes pour habiller les femmes voluptueuses mais ce n'est que ce soir que j'ai lu les pages "Le journal de David".
"Késako ?!" Eh bien, je me suis posée la même question en trouvant cette rubrique. En lisant les premières lignes, j'étais tout de suite attirée et vous comprendez la raison en lisant la présentation :
"Chaque mois, l'écrivain David Abiker nous raconte la vie banale et excitante d'un homme marié." Voilà la phrase de présentation qui m'a tout de suite plongé dans l'aventure de ce journaliste. "Comment ? un homme dans un magazine pour femme ?" C'est étonnant et donc, ca attire l'attention (bien joué marie claire).
Ce mois-ci, je suis tombée sur l'épisode où le narrateur (fiction ou autobiographie, je ne sais pas encore) raconte un dîner entre couples dont 2 célibataires à caser. Enfin là n'est pas le principal, si vous êtes intéressé(e)s vous n'aurez qu'à acheter le magazine (:p) mais le fait qu'un homme veuille raconter sa vie sentimentale, ses pensées, ses craintes, ses doutes mais aussi ses envies et ses désirs, j'ai trouvé cette idée ultra-novatrice. Je sais que nombreux sont les hommes qui se mettent du gloss mais de là à avouer ses faiblesses, c'est vraiment nouveau.
Le blog du monsieur ? Rien de compliqué : des mots simples, des histoires de tous les jours, une vie, une vraie.
Le mien ? Rien de bien compliqué non plus (sauf peut être tout ce qui est de relié mylittlegossip à mylifeisgossip) : des mots simples, pas de discours compliqués, et ça, je m'y tiendrai. Je veux raconter ma vie en toute liberté avec les mots que je souhaite utiliser et ne pas me prendre la tête pour faire de belles phrases qui au final ne voudront plus rien dire. -Merci toutefois de me signaler, un jour, si je m'y perds dans mon discours !-
Maintenant il est 2h13 du matin en ce samedi 22 décembre, je suis au lit, mais pas en train de dormir...